Le cheval est lumière
L'ignorant passe a coté sans s'en apercevoir.
La brute s'acharne sans même la voir, et finalement l'eteint et se met dans le noir.
Le cupide la gaspille et trébuche sans atteindre le saovir. Pour mieux la contempler, seul le sage sait se reculer,
et il désire apprendre à l'aviver pour qu'elle rayonne davantage".
Domino et Maestro
Voici une petite vidéo que j'ai faite ;)
Ils'agit de Domino ( noire et blanche) ...; trotteuse de 17 ans et de Maestro: pur sang espagnol de 4 ans!
J'ai pu faire de l'ethologie avec Maestro et nous nous sommes de suite bien entendus! Maestro était encore un entier peu avant que je le rencontre...et ce n'était pas du tout un cheval facile...il ne se laissait pas approcher par tous avait parfois des réactions vives! Grâce à l'ethologie, une relation de confiance s'est installée ..et j'ai pu très vite le monter! Il est resté sage comme une image! Il à même été plutôt doux avec moi :)
Et voici un petit texte que j'ai écrit sur Domino:
Secrets of Winter
Voici quelques photos prises récemment! La neige vient d'arriver!! ;-)
PS: Passez voir l'album "Ricochets de Lumière... J'y ai rajouté quelques photos!!
Créations
Je me suis mise il y a peu au graphimse avec photoflitre :) Je vous mets quelques créations :)
Toutes les photos utilisée ont été prises par moi :)
Ecole Espagnole De Vienne
Ecole Espagnole de Vienne
Voici quelques photos que j'ai prises lors du galla de l'école espagnole de Vienne auquel j'ai assisté il y a peu de temps! Superbe sepctacle ,rigueur, légerété,parfaite entente entre le cheval et son cavalier, et tout cela sur de magnifiques musiques.... Les meilleurs!!! J'AI PRIS TOUTES CES PHOTOS SANS FLASH!
PHOTO 6: j'ai beaucoup aimé cette partie... En rennes longues , Conversano change de pieds à tous les temps au galop en rennes longues!
Histoire du lipizzan, cheval impérial
(source ; http://lipizzans.fr/Histoire_du_Lipizzan,_cheval_imperial.html )
L'école Espagnole de Vienne est créée en 1572 avec des chevaux andalous très appréciés par les Cours d’Europe pour leur élégance, leurs allures, et leur personnalité. Mais dès 1580, les difficultés d’importation de ces chevaux, notamment en raison des guerres, conduisent l’Archiduc Charles II à implanter son propre haras en Autriche, non loin de Vienne, pour y élever les chevaux destinés aux Ecuries Impériales. Il choisit le village de Lipica (aujourd’hui en Slovénie) sur le plateau du Kras (ou Karst)- dont les conditions climatiques sont proches de celles de l’Andalousie et les chevaux réputés depuis l’antiquité pour leur endurance et leur robustesse- et fait importer d’Espagne tout d’abord trois étalons «Brincos», puis 6 autres étalons et 24 juments. Ce sont les double croisements des chevaux importés avec l’antique race indigène du Karst (ou Kras) qui donneront naissance à la race du «Cheval Lipizzan». Par la suite la cour de Vienne soucieuse d'améliorer cette nouvelle race, continuera d'acheter d'autres chevaux espagnols.
A partir de 1700, il sera procédé à de nouveaux apports de sang provenant d'étalons italiens, allemands, et danois d'origine ibéro-arabe. Les reproducteurs Montedoro, acheté en 1739, et Toscanello en 1749, commencent à transmettre les robes gris louvet et pie, très prisées à l’époque. C'est toutefois grâce aux infusions de sang arabe que fut génétiquement favorisée la robe blanche, considérée comme celle des "chevaux impériaux" et devenue ensuite l’une des caractéristiques de la race. La fixation du type dans ses caractéristiques essentielles et son usage de cheval de parade et de combat apparaissent déjà en 1735 au moment de l'inauguration du manège impérial de l’Ecole Espagnole de Vienne. Le Lipizzan va remplacer les andalous pour demeurer jusqu'à nos jours l'acteur principal des grands carrousels et des fêtes somptueuses.
C'est sous le règne de l'Impératrice Marie-Thérèse que les lignés se précisent, l'élevage étant circonscrit aux cinq, puis six lignées dites pures:
‣PLUTO: Andalou gris, né en 1765 au haras royal danois de Frederksborg
‣CONVERSANO: Napolitain noir, né en 1767,
‣MAESTOSO: Gris, né en 1773 au haras de Kladrub
‣FAVORY: Louvet, né 1779 au haras de Kladrub
‣NEAPOLITANO: Napolitain bai, né en 1790
‣SIGLAVY: Pur sang arabe, né en 1810, crée une nouvelle et dernière lignée.
Ces six lignées «classiques» et les dix-huit familles classiques de juments (grises du Karts) constituent la base de l'élevage et sont les seules acceptées aujourd’hui aux haras de Piber (où sont élevés les jeunes mâles destinés à l’Ecole Espagnole de Vienne).
Il existe deux autres étalons dont les lignées perdurent à ce jour, le transylvanien INCITATO et le croate TULIPAN.
A l’origine, les chevaux étaient appelés « Pferde der Karster Rasse Lippizaner Zucht », (ou Spanische Karster) soit: « Cheval de la souche lipizzane de la race du Kras ». C’est en 1860 que fut crée l’appellation «Lipizzan» pour les chevaux demeurant à Lipica, tandis que les demi-lourds de trait italiens transférés définitivement, sur ordre des autorités, pour être élevés à Kladrub, prenaient le nom de «Kladruber».
Les différentes guerres qui ont enflammé l'Europe centrale durant quatre siècles vont entraîner des exodes multiples. Les grands haras nationaux traditionnels se trouvent aujourd'hui à : Piber en Autriche, Lipica en Slovénie, Djacovo en Croatie, Szilvasvarad en Hongrie, Topolcianskiy en Slovaquie, Kladruby en Tchékie, Simbata de Jos en Roumanie et Montérotondo en Italie.
Quelques exemples de figures : airs relevés: (sans étriers) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Lipizzan#Les_enseignements_fondamentaux)
- La levade : le cheval se tient uniquement sur ses membres postérieurs en formant un angle de 35 degrés avec le sol ;
- La pesade : plus facile que la levade (car le porte-à-faux est moindre), le cheval doit former un angle de 45 degrés avec le sol ;
- La croupade : le cheval bondit en l'air et lorsqu'il est à l'horizontale, regroupe ses postérieurs sous sa masse en les mettant à la même hauteur que les antérieurs ;
- La ballotade : figure intermédiaire entre croupade et cabriole ; à la différence de la cabriole, le cheval ne rue pas au sommet de son élévation, mais montre ses fers arrières, comme s'il allait ruer ;
- La cabriole : le cheval effectue un saut sur place avec l'arrière-main et l'avant-main, au cours duquel il rue des postérieurs ;
- Le mézair : c'est une levade au cours de laquelle le cheval gagne du terrain, à chaque fois qu'il se relève ou s'abaisse..